Les réseaux sociaux, notamment grâce au travail minutieux réalisé par le journaliste David Dufresne, sont devenus un vivier de vidéos montrant des policiers ou des gendarmes maltraitant des manifestants (insultes, coups…), voire les blessant de manière parfois volontaire.
Bien évidemment, les forces de police et les gendarmes ont une déontologie, et la plupart d’entre eux la respectent.
Ils existent toutefois de plus en plus de dérives, en partie dues au fait que les ministres de l’Intérieur successifs n’ont jamais eu le courage de dénoncer les violences policières qui pouvaient se produire, voire les ont tout simplement couvertes.
Un manifestant blessé par un policier (ou simplement insulté, par exemple), n’est pourtant pas sans ressource, puisqu’il peut déposer plainte contre X, voire tenter d’engager la responsabilité de l’État.
C’est même un devoir, car c’est par l’usage de l’arme du droit, entre autres, que les choses changeront. Me Lantheaume travaille régulièrement avec des avocats en droit pénal, qui prennent en charge les dépôts de plainte et le suivi de la procédure pénale (avec le plus souvent une saisine de l’IGPN, la police des polices, et du Défenseur des droits).
Ces violences, aujourd’hui largement documentées par les journalistes et les réseaux sociaux, minent la confiance des citoyens dans leur police.
Me Lantheaume se charge quant à lui des procédures devant le tribunal administratif, pour engager la responsabilité de l’État, et tenter d’obtenir des dommages et intérêts.
Ce travail à deux permet de proposer une défense complète et efficace aux victimes de violences policières, en recherchant à la fois la responsabilité de l’individu auteur des violences (au pénal), et la responsabilité de l’Etat (devant les juridictions administratives).
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